Comment démissionner sans passer pour un con
Tu t’apprêtes à quitter ton taf et tu ne sais pas comment l’annoncer ? T’inquiète, je vais t’expliquer comment faire ça proprement, sans brûler les ponts ni passer pour un connard. Parce que oui, la façon dont tu quittes une boîte peut avoir autant d’impact que ton entrée.
💡 Astuce : Tu peux t’abonner à la newsletter du blog juste en dessous. C’est gratuit, et si tu le fais pas, ton manager te fera une contre-proposition que tu pourras pas refuser.
La préparation, cette étape qu’on oublie toujours
La première chose à faire, c’est de bien identifier pourquoi tu te casses. Et pas juste « mon boss est un con » ou « je suis sous-payé ». Il te faut des vrais arguments :
- Évolution de carrière bloquée
- Rémunération qui stagne
- Conditions de travail pourries
- Nouveau projet plus intéressant
- Raisons persos (déménagement, équilibre vie pro/perso)
Bref, des trucs concrets que tu peux expliquer sans passer pour un rageux.
L’annonce : le moment crucial
Le timing parfait n’existe pas
Choisis quand même un moment où ta boîte n’est pas en PLS totale. Genre pas en plein rush ou quand ton équipe croule sous les deadlines. Privilégie le début de semaine, en début de journée. Histoire que ton boss ait le temps de digérer l’info.
La forme compte plus que le fond
Fais ça en face à face avec ton N+1, pas par Slack ou par mail comme un lâche. Prépare tes arguments, reste factuel et constructif. Évite le drama et les règlements de compte.
Et surtout, propose d’assurer la transition :
- Formation de ton remplaçant
- Documentation de tes process
- Transmission des dossiers
Les erreurs que tout le monde fait (et que tu vas faire aussi)
Ce qu’il faut pas dire
- « De toute façon cette boîte c’est de la merde »
- « Mon nouveau job il est 1000 fois mieux »
- « Je gagne 30% de plus là-bas »
- « Entre nous, le management ici… »
Bref, évite de cracher dans la soupe. Même si c’est vrai.
Ce qu’il faut pas faire
Ne mens pas sur tes vraies raisons, ça se retourne toujours contre toi. Genre dire que tu démissionnes pour faire le tour du monde alors que t’as signé chez le concurrent.
Ne balance pas tous tes griefs d’un coup comme si c’était ton dernier jour sur Terre. Garde ça pour les afterworks avec tes potes.
Ne compare pas ta boîte actuelle avec ton futur employeur. Même si la différence est flagrante.
Le plus important ? Reste pro jusqu’au bout. Le monde est petit, surtout dans ton secteur. Et ton boss d’aujourd’hui pourrait être ton futur recruteur dans 5 ans.
Voici un résumé des choses à éviter :
Ce qu’il faut pas dire |
Pourquoi l’éviter |
« De toute façon cette boîte c’est de la merde » |
Ça casse les ponts et laisse une mauvaise image. |
« Mon nouveau job il est 1000 fois mieux » |
C’est dévalorisant pour ton employeur actuel. |
« Je gagne 30% de plus là-bas » |
Ça met l’accent sur l’argent plutôt que sur des raisons professionnelles. |
« Entre nous, le management ici… » |
Critiquer le management peut nuire à ta réputation. |
Voilà, t’as toutes les cartes en main pour gérer ta démission comme un champion. Si avec ça tu te plantes, c’est que t’as vraiment pas écouté.
Pro tip : Prépare-toi quand même à la contre-proposition. Parce que oui, ton boss va sûrement essayer de te garder. À toi de voir si ça vaut le coup de rester pour 200 € de plus et des promesses d’évolution.
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Comment expliquer les raisons de sa démission ?
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Comment démissionner sans passer pour un con
Tu t’apprêtes à quitter ton taf et tu ne sais pas comment l’annoncer ? T’inquiète, je vais t’expliquer comment faire ça proprement, sans brûler les ponts ni passer pour un connard. Parce que oui, la façon dont tu quittes une boîte peut avoir autant d’impact que ton entrée.
💡 Astuce : Tu peux t’abonner à la newsletter du blog juste en dessous. C’est gratuit, et si tu le fais pas, ton manager te fera une contre-proposition que tu pourras pas refuser.
La préparation, cette étape qu’on oublie toujours
La première chose à faire, c’est de bien identifier pourquoi tu te casses. Et pas juste « mon boss est un con » ou « je suis sous-payé ». Il te faut des vrais arguments :
Bref, des trucs concrets que tu peux expliquer sans passer pour un rageux.
L’annonce : le moment crucial
Le timing parfait n’existe pas
Choisis quand même un moment où ta boîte n’est pas en PLS totale. Genre pas en plein rush ou quand ton équipe croule sous les deadlines. Privilégie le début de semaine, en début de journée. Histoire que ton boss ait le temps de digérer l’info.
La forme compte plus que le fond
Fais ça en face à face avec ton N+1, pas par Slack ou par mail comme un lâche. Prépare tes arguments, reste factuel et constructif. Évite le drama et les règlements de compte.
Et surtout, propose d’assurer la transition :
Les erreurs que tout le monde fait (et que tu vas faire aussi)
Ce qu’il faut pas dire
Bref, évite de cracher dans la soupe. Même si c’est vrai.
Ce qu’il faut pas faire
Ne mens pas sur tes vraies raisons, ça se retourne toujours contre toi. Genre dire que tu démissionnes pour faire le tour du monde alors que t’as signé chez le concurrent.
Ne balance pas tous tes griefs d’un coup comme si c’était ton dernier jour sur Terre. Garde ça pour les afterworks avec tes potes.
Ne compare pas ta boîte actuelle avec ton futur employeur. Même si la différence est flagrante.
Le plus important ? Reste pro jusqu’au bout. Le monde est petit, surtout dans ton secteur. Et ton boss d’aujourd’hui pourrait être ton futur recruteur dans 5 ans.
Voici un résumé des choses à éviter :
Voilà, t’as toutes les cartes en main pour gérer ta démission comme un champion. Si avec ça tu te plantes, c’est que t’as vraiment pas écouté.
Pro tip : Prépare-toi quand même à la contre-proposition. Parce que oui, ton boss va sûrement essayer de te garder. À toi de voir si ça vaut le coup de rester pour 200 € de plus et des promesses d’évolution.
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