La vérité sur le chômage après une démission
Tu t’es peut-être déjà posé la question de quitter ton taff et de toucher le chômage. Avant de faire une erreur, je vais t’expliquer comment ça marche vraiment en 2024.
Les cas où tu peux vraiment démissionner
Alors, contrairement à ce que racontent certains, non, tu ne peux pas juste démissionner comme ça et espérer toucher des allocations. Il y a en fait deux grandes portes de sortie :
La démission légitime, le graal pour certains
Pôle Emploi reconnaît quelques situations où tu peux démissionner sans te faire exclure. Le plus classique, c’est quand tu suis ton conjoint qui déménage pour le boulot. Faut juste pas oublier les papiers qui prouvent que vous êtes vraiment en couple (PACS ou mariage) et que ton/ta chéri(e) a bien un nouveau taf là-bas.
Il y a aussi le cas du harcèlement, mais là c’est compliqué : il te faut des preuves solides, genre des témoignages ou des certificats médicaux. Ce n’est pas juste parce que ton boss t’a mal regardé un matin.
Le fameux projet de reconversion
Depuis 2024, tu peux aussi démissionner pour te reconvertir. Mais attention, ce n’est pas automatique : faut avoir bossé 5 ans d’affilée au même endroit et présenter un projet qui tient la route. Par exemple, si tu veux devenir influenceur TikTok, ça risque de ne pas fonctionner.
Comment choper tes allocs sans te faire recaler
L’inscription, le parcours du combattant
T’as 12 mois après ta démission pour t’inscrire, mais le plus tôt sera le mieux. Va falloir te créer un compte sur pole-emploi.fr, scanner une multitude de documents et passer un entretien où on va te demander ton « projet professionnel ». Conseil : prépare bien ton histoire avant.
💡 Astuce : Pense à réunir tous tes justificatifs (contrats de travail, attestations, etc.) avant de commencer ton inscription pour gagner du temps.
Le pognon
Pour le calcul, ils regardent tes 24 derniers mois de salaire si t’as moins de 53 ans. Tu toucheras 57 % de ton ancien salaire, avec un minimum de 29,38 € par jour en 2024. Par contre, y’a une semaine de carence où tu touches rien. Et attention, la durée max c’est 18 mois.
Pro tip : Si tu as perçu des indemnités de départ, le délai de carence peut être allongé. Anticipe pour éviter les surprises.
Si ça ne se passe pas comme prévu
Pôle Emploi t’a envoyé bouler ? T’as encore quelques options :
- Le recours gracieux : tu retentes ta chance en ajoutant des preuves.
- Le médiateur : une sorte d’arbitre qui peut t’aider.
- Le tribunal administratif : la solution ultime quand t’es vraiment déterminé.
Bref, démissionner pour toucher le chômage c’est pas impossible, mais faut pas se louper. Mon conseil ? Prépare bien ton coup avant de claquer la porte. Et si tu t’abonnes pas à la newsletter du blog, ton dossier Pôle Emploi finira comme ton PEA : dans le rouge.
Cas de démission considérés comme légitimes
| Situation |
Conditions |
| Suivre son conjoint |
Preuve de mariage ou PACS et nouveau travail du conjoint dans une autre région. |
| Harcèlement |
Preuves solides comme des témoignages ou certificats médicaux. |
| Reconversion professionnelle |
5 ans d’ancienneté et un projet sérieux validé. |
Comment toucher le chômage après une démission en 2024 ?
Sommaire
La vérité sur le chômage après une démission
Tu t’es peut-être déjà posé la question de quitter ton taff et de toucher le chômage. Avant de faire une erreur, je vais t’expliquer comment ça marche vraiment en 2024.
Les cas où tu peux vraiment démissionner
Alors, contrairement à ce que racontent certains, non, tu ne peux pas juste démissionner comme ça et espérer toucher des allocations. Il y a en fait deux grandes portes de sortie :
La démission légitime, le graal pour certains
Pôle Emploi reconnaît quelques situations où tu peux démissionner sans te faire exclure. Le plus classique, c’est quand tu suis ton conjoint qui déménage pour le boulot. Faut juste pas oublier les papiers qui prouvent que vous êtes vraiment en couple (PACS ou mariage) et que ton/ta chéri(e) a bien un nouveau taf là-bas.
Il y a aussi le cas du harcèlement, mais là c’est compliqué : il te faut des preuves solides, genre des témoignages ou des certificats médicaux. Ce n’est pas juste parce que ton boss t’a mal regardé un matin.
Le fameux projet de reconversion
Depuis 2024, tu peux aussi démissionner pour te reconvertir. Mais attention, ce n’est pas automatique : faut avoir bossé 5 ans d’affilée au même endroit et présenter un projet qui tient la route. Par exemple, si tu veux devenir influenceur TikTok, ça risque de ne pas fonctionner.
Comment choper tes allocs sans te faire recaler
L’inscription, le parcours du combattant
T’as 12 mois après ta démission pour t’inscrire, mais le plus tôt sera le mieux. Va falloir te créer un compte sur pole-emploi.fr, scanner une multitude de documents et passer un entretien où on va te demander ton « projet professionnel ». Conseil : prépare bien ton histoire avant.
💡 Astuce : Pense à réunir tous tes justificatifs (contrats de travail, attestations, etc.) avant de commencer ton inscription pour gagner du temps.
Le pognon
Pour le calcul, ils regardent tes 24 derniers mois de salaire si t’as moins de 53 ans. Tu toucheras 57 % de ton ancien salaire, avec un minimum de 29,38 € par jour en 2024. Par contre, y’a une semaine de carence où tu touches rien. Et attention, la durée max c’est 18 mois.
Pro tip : Si tu as perçu des indemnités de départ, le délai de carence peut être allongé. Anticipe pour éviter les surprises.
Si ça ne se passe pas comme prévu
Pôle Emploi t’a envoyé bouler ? T’as encore quelques options :
Bref, démissionner pour toucher le chômage c’est pas impossible, mais faut pas se louper. Mon conseil ? Prépare bien ton coup avant de claquer la porte. Et si tu t’abonnes pas à la newsletter du blog, ton dossier Pôle Emploi finira comme ton PEA : dans le rouge.
Cas de démission considérés comme légitimes
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Les règles du chômage évoluent constamment. On fait le point sur les nouveautés 2024 qui pourraient bien changer la donne pour ta démission.
Avant de claquer la porte, vérifie que tu as assez bossé pour avoir droit aux allocs. On t’explique la durée minimale requise.