Tu veux démissionner et avoir le chômage ? Voici comment faire
Aujourd’hui on va parler d’un sujet qui intéresse pas mal de monde : comment toucher le chômage après une démission. Parce que oui, contrairement à ce que beaucoup pensent, c’est possible ! Mais attention, il y a quelques subtilités à connaître.
Les démissions « légitimes » : le jackpot direct
Si ta démission est considérée comme légitime, tu n’as pas à attendre pour toucher tes allocations. C’est le cas si :
- Tu suis ton/ta chéri(e) qui déménage pour le boulot (et oui, l’amour ça peut rapporter)
- Tu subis des violences conjugales (avec dépôt de plainte ou ordonnance de protection à l’appui)
- Ton patron « oublie » de te payer (mais faut pouvoir le prouver)
Évidemment, il te faut quand même avoir bossé au moins 130 jours ou 910 heures sur les 2 dernières années si t’as moins de 53 ans. Et y’a toujours ces 7 jours de carence où tu touches que dalle, histoire de bien te faire comprendre que t’es au chômage.
Pro tip : Vérifie la liste complète des démissions légitimes sur le site de Pôle Emploi pour être sûr de ton coup.
La démission « normale » : 4 mois à tenir
Si ta démission n’entre pas dans les cases magiques, va falloir serrer les dents pendant 121 jours (ouais, ils auraient pu arrondir à 120). Pendant cette période :
- Tu dois t’inscrire à Pôle Emploi et faire semblant d’être super motivé
- Garder toutes les preuves de tes recherches (même les refus, ça compte)
- Faire tout ce que te dit ton conseiller Pôle Emploi (oui, même les ateliers CV…)
Au bout des 4 mois, des gens très sérieux vont regarder si tu as vraiment cherché du boulot. Conseil d’ami : conserve bien toutes tes candidatures.
💡 Astuce : Utilise un tableur pour suivre tes candidatures, ça fera sérieux devant Pôle Emploi.
Les démarches chiantes mais obligatoires
L’inscription à Pôle Emploi
Dès que t’as fini ton dernier jour, direction pole-emploi.fr. Pas la peine d’y aller avant, ils te prendront pas. Et surtout, n’oublie pas l’actualisation mensuelle, sinon bye bye les allocs.
La paperasse
Faut leur donner :
- L’attestation employeur (si ton boss joue pas au con pour te la filer)
- Tes papiers d’identité (non, ton permis de conduire ça suffit pas)
- Les preuves que ta démission est légitime (si c’est le cas)
Le hack ultime : la démission pour projet pro
Si t’es malin, y’a un truc qui s’appelle la démission-reconversion. En gros, tu peux démissionner pour monter ta boîte ou te former, tout en touchant le chômage. Mais attention :
- Ton projet doit tenir la route (genre pas « je veux devenir influenceur sur TikTok »)
- Faut le faire valider AVANT de démissionner (très important ça)
- Tu seras suivi de près pendant tout le process
Pro tip : Contacte le Conseil en Évolution Professionnelle pour faire valider ton projet et mettre toutes les chances de ton côté.
Résumé des conditions
Pour t’aider à y voir plus clair, voici un tableau récapitulatif :
| Type de démission |
Conditions |
Droit au chômage |
| Démission légitime |
Raisons acceptées par Pôle Emploi |
Oui, immédiat après 7 jours de carence |
| Démission normale |
Recherche active d’emploi pendant 121 jours |
Oui, après examen par Pôle Emploi |
| Démission-reconversion |
Projet validé avant démission |
Oui, suivi spécifique |
Bref, c’est pas impossible de toucher le chômage après une démission, mais faut pas se louper sur la stratégie. Et si tu t’abonnes pas à ma newsletter, je préviens Pôle Emploi que tu cherches pas vraiment de boulot. 😉
combien de temps faut-il travailler pour toucher le chômage après une démission
Sommaire
Tu veux démissionner et avoir le chômage ? Voici comment faire
Aujourd’hui on va parler d’un sujet qui intéresse pas mal de monde : comment toucher le chômage après une démission. Parce que oui, contrairement à ce que beaucoup pensent, c’est possible ! Mais attention, il y a quelques subtilités à connaître.
Les démissions « légitimes » : le jackpot direct
Si ta démission est considérée comme légitime, tu n’as pas à attendre pour toucher tes allocations. C’est le cas si :
Évidemment, il te faut quand même avoir bossé au moins 130 jours ou 910 heures sur les 2 dernières années si t’as moins de 53 ans. Et y’a toujours ces 7 jours de carence où tu touches que dalle, histoire de bien te faire comprendre que t’es au chômage.
Pro tip : Vérifie la liste complète des démissions légitimes sur le site de Pôle Emploi pour être sûr de ton coup.
La démission « normale » : 4 mois à tenir
Si ta démission n’entre pas dans les cases magiques, va falloir serrer les dents pendant 121 jours (ouais, ils auraient pu arrondir à 120). Pendant cette période :
Au bout des 4 mois, des gens très sérieux vont regarder si tu as vraiment cherché du boulot. Conseil d’ami : conserve bien toutes tes candidatures.
💡 Astuce : Utilise un tableur pour suivre tes candidatures, ça fera sérieux devant Pôle Emploi.
Les démarches chiantes mais obligatoires
L’inscription à Pôle Emploi
Dès que t’as fini ton dernier jour, direction pole-emploi.fr. Pas la peine d’y aller avant, ils te prendront pas. Et surtout, n’oublie pas l’actualisation mensuelle, sinon bye bye les allocs.
La paperasse
Faut leur donner :
Le hack ultime : la démission pour projet pro
Si t’es malin, y’a un truc qui s’appelle la démission-reconversion. En gros, tu peux démissionner pour monter ta boîte ou te former, tout en touchant le chômage. Mais attention :
Pro tip : Contacte le Conseil en Évolution Professionnelle pour faire valider ton projet et mettre toutes les chances de ton côté.
Résumé des conditions
Pour t’aider à y voir plus clair, voici un tableau récapitulatif :
Bref, c’est pas impossible de toucher le chômage après une démission, mais faut pas se louper sur la stratégie. Et si tu t’abonnes pas à ma newsletter, je préviens Pôle Emploi que tu cherches pas vraiment de boulot. 😉
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