💡 La démission pour reconversion : pas si simple !
Tu t’es déjà dit que ton taf actuel te saoule et que tu voudrais tout plaquer ? Depuis 2019, il est possible de démissionner pour se reconvertir tout en touchant le chômage. Mais attention, c’est pas aussi simple que ça en a l’air. Je vais t’expliquer les conditions à remplir, parce que Pôle Emploi aime bien mettre des bâtons dans les roues.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, je te rappelle que tu peux t’abonner à la newsletter du blog juste en dessous. C’est gratuit, et si tu t’abonnes pas, ta reconversion se passera aussi bien que la carrière politique de Sandrine Rousseau.
🎯 Les 3 conditions pour pas se planter
Pour avoir droit aux allocs après une démission, il y a 3 conditions à remplir. Et crois-moi, c’est pas négociable.
Condition |
Description |
1️⃣ Un projet en béton armé |
Un projet clair, détaillé, avec plan de formation et études de marché. |
2️⃣ L’expérience, toujours l’expérience |
Avoir travaillé 5 ans sans interruption, peu importe les contrats. |
3️⃣ La validation des grands sages |
Faire valider le projet par la CPIR avant de démissionner. |
1️⃣ Un projet en béton armé
Premier truc : ton projet de reconversion doit tenir la route. Pas question de dire « je veux devenir influenceur lifestyle » comme ça. Il te faut :
- Un dossier qui détaille pourquoi tu veux changer et ce que tu vises
- Un plan de formation si besoin (avec devis et tout le tralala)
- Une étude de marché qui prouve que ton projet n’est pas complètement pété
2️⃣ L’expérience, toujours l’expérience
Deuxième condition : avoir bossé pendant 5 ans non-stop. Alors attention :
- Peu importe si t’as changé de boîte entre temps
- Les congés mat’, arrêts maladie et formations comptent
- CDD, CDI, intérim… tout est bon dans le cochon
3️⃣ La validation des grands sages
Dernière étape et pas des moindres : convaincre la Commission Paritaire Interprofessionnelle Régionale (CPIR). Ces gens-là vont décider si ton projet mérite qu’on te file des allocs :
- Faut soumettre ton dossier AVANT de démissionner (oui, logique)
- Ils vont éplucher ton projet sous tous les angles
- Compte 2 mois pour avoir une réponse (et encore, quand ils sont rapides)
💡 Astuce : Prends contact avec un membre de la CPIR pour obtenir des conseils sur ton dossier avant de le soumettre officiellement.
🏃♂️ La course d’obstacles
Le parcours pour faire valider ta démission ressemble un peu au parcours du combattant :
- Tu passes voir un conseiller en évolution pro (CEP) qui va t’aider à affiner ton projet
- Tu montes ton dossier avec tous les justifs nécessaires
- Tu balances tout ça à la commission régionale
- Si c’est validé, t’as 6 mois pour t’inscrire à Pôle Emploi
Crois-moi, c’est pas une partie de plaisir. La plupart des gens qui démissionnent pour reconversion se plantent parce qu’ils respectent pas ces étapes. Du coup, ils se retrouvent sans allocs et avec un projet qui part en sucette.
Pro tip : Ne démissionne surtout pas avant d’avoir l’accord officiel de la CPIR, sinon tu risques de tout perdre.
🤔 Le mot de la fin
Bref, si tu veux démissionner pour te reconvertir, prépare bien ton coup. Ça demande du temps, de la paperasse et de la patience. Mais bon, c’est toujours mieux que de rester dans un taf qui te fait déprimer, non ?
PS : Si ton projet est refusé, tu peux toujours tenter le burn-out… Non je déconne, fais pas ça. Quoique… (c’est une blague Pôle Emploi, si vous lisez ça).
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Quelles sont les 3 conditions permettant de bénéficier des droits Pôle Emploi après une démission pour reconversion ?
Sommaire
💡 La démission pour reconversion : pas si simple !
Tu t’es déjà dit que ton taf actuel te saoule et que tu voudrais tout plaquer ? Depuis 2019, il est possible de démissionner pour se reconvertir tout en touchant le chômage. Mais attention, c’est pas aussi simple que ça en a l’air. Je vais t’expliquer les conditions à remplir, parce que Pôle Emploi aime bien mettre des bâtons dans les roues.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, je te rappelle que tu peux t’abonner à la newsletter du blog juste en dessous. C’est gratuit, et si tu t’abonnes pas, ta reconversion se passera aussi bien que la carrière politique de Sandrine Rousseau.
🎯 Les 3 conditions pour pas se planter
Pour avoir droit aux allocs après une démission, il y a 3 conditions à remplir. Et crois-moi, c’est pas négociable.
1️⃣ Un projet en béton armé
Premier truc : ton projet de reconversion doit tenir la route. Pas question de dire « je veux devenir influenceur lifestyle » comme ça. Il te faut :
2️⃣ L’expérience, toujours l’expérience
Deuxième condition : avoir bossé pendant 5 ans non-stop. Alors attention :
3️⃣ La validation des grands sages
Dernière étape et pas des moindres : convaincre la Commission Paritaire Interprofessionnelle Régionale (CPIR). Ces gens-là vont décider si ton projet mérite qu’on te file des allocs :
💡 Astuce : Prends contact avec un membre de la CPIR pour obtenir des conseils sur ton dossier avant de le soumettre officiellement.
🏃♂️ La course d’obstacles
Le parcours pour faire valider ta démission ressemble un peu au parcours du combattant :
Crois-moi, c’est pas une partie de plaisir. La plupart des gens qui démissionnent pour reconversion se plantent parce qu’ils respectent pas ces étapes. Du coup, ils se retrouvent sans allocs et avec un projet qui part en sucette.
Pro tip : Ne démissionne surtout pas avant d’avoir l’accord officiel de la CPIR, sinon tu risques de tout perdre.
🤔 Le mot de la fin
Bref, si tu veux démissionner pour te reconvertir, prépare bien ton coup. Ça demande du temps, de la paperasse et de la patience. Mais bon, c’est toujours mieux que de rester dans un taf qui te fait déprimer, non ?
PS : Si ton projet est refusé, tu peux toujours tenter le burn-out… Non je déconne, fais pas ça. Quoique… (c’est une blague Pôle Emploi, si vous lisez ça).
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