Quitter ton taf : la loose ou l’opportunité du siècle ?
Tu kiffes ton job mais tu te poses des questions sur un potentiel départ ? T’es pas le seul, c’est l’un des trucs les plus galères à gérer niveau carrière. D’un côté, t’es bien dans tes baskets, de l’autre, tu sens que quelque chose cloche. Allez, on démêle tout ça ensemble !
Pourquoi tu voudrais te casser alors que tout roule ?
Avant de plonger dans le vif du sujet, je te propose de t’inscrire à ma newsletter. C’est gratuit, et si tu t’abonnes pas, ton prochain entretien d’embauche sera aussi catastrophique que la dernière conf de Bruno Le Maire.
Bon, revenons à nos moutons. Y’a plein de raisons valables de vouloir se barrer d’un job qu’on aime. La première, c’est quand tu commences à tourner en rond comme un hamster dans sa roue. Même si ton équipe est cool et que ton boss n’est pas un tyran, la routine peut te bouffer à petit feu.
Parfois, c’est juste que t’as repéré une opportunité en or ailleurs. Genre un poste avec plus de responsabilités ou dans une boîte qui monte. C’est comme quand tu changes de forfait mobile : même si t’es satisfait, quand tu vois une meilleure offre, tu commences à réfléchir.
💡 Astuce : Fais une veille sur les offres d’emploi dans ton secteur pour ne pas rater une opportunité en or.
Comment être sûr de pas faire une connerie
La pire chose à faire, c’est de se précipiter comme un dingue vers la sortie sans réfléchir. Faut poser tout ça à plat, comme quand tu fais tes comptes à la fin du mois (enfin, si tu les fais).
Pour t’aider, voici un tableau pour faire le point :
Ce qui va |
Ce qui va pas |
Bonne ambiance d’équipe |
Manque de défis |
Salaire correct |
Temps de trajet trop long |
Projets intéressants |
Peu de possibilités d’évolution |
Commence par lister tout ce qui va et ce qui va pas dans ton job actuel. Et je parle pas juste du salaire hein, mais aussi de l’ambiance, des projets, de ton temps de trajet… Bref, tout ce qui impacte ta life au quotidien.
Regarde aussi ce qui se passe sur le marché. C’est bien beau de vouloir partir, encore faut-il avoir où aller. Et crois-moi, y’a rien de plus déprimant que de quitter un bon job pour se retrouver dans une boîte toxique qui te fait regretter ton choix dès la première semaine.
Comment gérer ton départ comme un boss
Si tu décides de partir, fais pas tout péter derrière toi comme dans un film d’action. Le monde est petit, surtout dans ton secteur, et tu sais jamais sur qui tu vas retomber plus tard.
Pro tip : Informe ton manager de ta décision en personne pour montrer ton professionnalisme.
Prépare bien ton timing : partir en plein rush ou au milieu d’un projet crucial, c’est pas très professionnel. Et puis franchement, ça fait un peu relou pour tes collègues qui vont devoir gérer derrière.
Reste pro jusqu’au bout : fais une belle transmission de tes dossiers, dis merci aux gens avec qui t’as bossé, et évite de cracher dans la soupe sur les réseaux sociaux. Même si ton boss était vraiment pas sympa, garde ça pour tes soirées entre potes.
Et surtout, garde contact avec les gens que t’apprécies. On sait jamais, ça peut servir plus tard pour un projet, une recommandation, ou juste pour boire des coups de temps en temps.
En gros, quitter un job qu’on aime c’est comme larguer quelqu’un : c’est jamais simple, mais parfois c’est nécessaire pour avancer. L’essentiel c’est de bien réfléchir avant, et de pas tout cramer derrière soi.
Allez, si t’as kiffé cet article, n’oublie pas de t’abonner à la newsletter. Et si tu le fais pas, je te souhaite de te retrouver coincé dans un open space entre le mec qui mange des chips toute la journée et celui qui parle fort au téléphone.
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Quitter un travail qu’on aime
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Quitter ton taf : la loose ou l’opportunité du siècle ?
Tu kiffes ton job mais tu te poses des questions sur un potentiel départ ? T’es pas le seul, c’est l’un des trucs les plus galères à gérer niveau carrière. D’un côté, t’es bien dans tes baskets, de l’autre, tu sens que quelque chose cloche. Allez, on démêle tout ça ensemble !
Pourquoi tu voudrais te casser alors que tout roule ?
Avant de plonger dans le vif du sujet, je te propose de t’inscrire à ma newsletter. C’est gratuit, et si tu t’abonnes pas, ton prochain entretien d’embauche sera aussi catastrophique que la dernière conf de Bruno Le Maire.
Bon, revenons à nos moutons. Y’a plein de raisons valables de vouloir se barrer d’un job qu’on aime. La première, c’est quand tu commences à tourner en rond comme un hamster dans sa roue. Même si ton équipe est cool et que ton boss n’est pas un tyran, la routine peut te bouffer à petit feu.
Parfois, c’est juste que t’as repéré une opportunité en or ailleurs. Genre un poste avec plus de responsabilités ou dans une boîte qui monte. C’est comme quand tu changes de forfait mobile : même si t’es satisfait, quand tu vois une meilleure offre, tu commences à réfléchir.
💡 Astuce : Fais une veille sur les offres d’emploi dans ton secteur pour ne pas rater une opportunité en or.
Comment être sûr de pas faire une connerie
La pire chose à faire, c’est de se précipiter comme un dingue vers la sortie sans réfléchir. Faut poser tout ça à plat, comme quand tu fais tes comptes à la fin du mois (enfin, si tu les fais).
Pour t’aider, voici un tableau pour faire le point :
Commence par lister tout ce qui va et ce qui va pas dans ton job actuel. Et je parle pas juste du salaire hein, mais aussi de l’ambiance, des projets, de ton temps de trajet… Bref, tout ce qui impacte ta life au quotidien.
Regarde aussi ce qui se passe sur le marché. C’est bien beau de vouloir partir, encore faut-il avoir où aller. Et crois-moi, y’a rien de plus déprimant que de quitter un bon job pour se retrouver dans une boîte toxique qui te fait regretter ton choix dès la première semaine.
Comment gérer ton départ comme un boss
Si tu décides de partir, fais pas tout péter derrière toi comme dans un film d’action. Le monde est petit, surtout dans ton secteur, et tu sais jamais sur qui tu vas retomber plus tard.
Pro tip : Informe ton manager de ta décision en personne pour montrer ton professionnalisme.
Prépare bien ton timing : partir en plein rush ou au milieu d’un projet crucial, c’est pas très professionnel. Et puis franchement, ça fait un peu relou pour tes collègues qui vont devoir gérer derrière.
Reste pro jusqu’au bout : fais une belle transmission de tes dossiers, dis merci aux gens avec qui t’as bossé, et évite de cracher dans la soupe sur les réseaux sociaux. Même si ton boss était vraiment pas sympa, garde ça pour tes soirées entre potes.
Et surtout, garde contact avec les gens que t’apprécies. On sait jamais, ça peut servir plus tard pour un projet, une recommandation, ou juste pour boire des coups de temps en temps.
En gros, quitter un job qu’on aime c’est comme larguer quelqu’un : c’est jamais simple, mais parfois c’est nécessaire pour avancer. L’essentiel c’est de bien réfléchir avant, et de pas tout cramer derrière soi.
Allez, si t’as kiffé cet article, n’oublie pas de t’abonner à la newsletter. Et si tu le fais pas, je te souhaite de te retrouver coincé dans un open space entre le mec qui mange des chips toute la journée et celui qui parle fort au téléphone.
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